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Portrait de femmes qui vont à l’encontre des stéréotypes

Les métiers ont-ils un sexe ? Les idées reçues ont la vie dure, mais les lignes bougent….

Pourquoi persiste-t-on à croire que certains métiers sont plus adaptés à un genre qu’à un autre ?

Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises comme D8 comprennent l’importance de la diversité et de l’inclusion dans le milieu professionnel. Il est temps de réaliser que les femmes et les hommes sont tout aussi capables les uns que les autres d’accéder aux mêmes métiers.

Chez D8, nous sommes conscients que dans le monde de la Distribution Automatique, les femmes sont encore sous-représentées et nous souhaitons leur offrir les mêmes opportunités de carrière que les hommes, puisque de leur côté, elles ne cessent de briser les stéréotypes de genre en faisant des carrières remarquables dans des domaines traditionnellement masculins.

C’est pourquoi nous sommes allées à la rencontre de nos collaboratrices pour en savoir plus sur leur expérience de travail.

Elles ont partagé avec nous leur passion pour leur travail, leur fierté de faire partie d’une entreprise innovante et leur engagement envers l’égalité des sexes dans le monde professionnel. Certaines ont abordé les défis auxquels elles ont dû faire face en tant que femmes dans des secteurs traditionnellement masculins, mais elles ont également souligné la façon dont D8 les a soutenues tout au long de leur parcours professionnel.

Portrait de ces femmes qui vont à l’encontre des stéréotypes et des clichés

Elles sont cinq sur six à avoir pu se rendre disponibles pour poser devant l’objectif. 6 femmes courageuses, déterminées et prêtes à relever tous les défis dans un secteur professionnel et une profession majoritairement choisis par les hommes…

A l’agence D8 de Saint-Maximin (60) : Sylvie, Sabrina, Lucie, Emilia ainsi que Natacha sont Opératrices sur Distributeurs Automatiques et Technicienne sur D.A.

Nos opératrices ont pour mission d’approvisionner et entretenir les distributeurs automatiques de boissons chaudes, fraiches et snacks mis en place chez nos clients. Notre technicienne intervient quant à elle sur appel des clients lorsqu’un dysfonctionnement est signalé sur une machine mais aussi pour effectuer des révisions techniques préventives.

A leur arrivée, chacune d’entre elle a reçu un excellent accueil et a été très rapidement intégrée. Selon elles, les mentalités évoluent dans le bon sens : « Il est vrai que dans notre secteur d’activité, les femmes sont encore minoritaires et peuvent susciter l’étonnement des clients ou des collègues masculins lorsqu’une femme doit intervenir sur un distributeur automatique, mais ils apprécient. Ils engagent la conversation rapidement et se livrent facilement, peut-être parce qu’ils considèrent que les femmes sont plus à l’écoute et plus empathiques que les hommes, cela facilite les interactions ». Cette différence est perçue positivement par les clients qui apprécient la diversité et l’inclusion dans leur environnement professionnel.

Pour elles, embaucher des femmes dans un secteur traditionnellement masculin peut être un levier de performance car elles sont compétentes en matière de gestion du temps et d’organisation et très soucieuses de la qualité du travail, ce qui peut aider à améliorer la qualité des prestations offertes par l’entreprise.

Elles pensent que la diversité hommes/femmes apporte une richesse d’idées qui permet des prises de décisions plus efficaces. “Une équipe mixte permet de casser les stéréotypes, et de réduire les possibles conflits.”

Un métier difficile ?

Pour être approvisionneuse ou technicienne externe, il faut « aimer conduire et travailler en autonomie, ne pas avoir peur de se salir, de se cogner ou de se couper en manipulant des cartons ». Selon elles, le métier est plus difficile lorsqu’elles sont confrontées à des défis supplémentaires liés à des exigences physiques telles que le port de charges dans des escaliers, lorsque les distributeurs automatiques sont placés dans des espaces non desservis par des ascenseurs. Sinon, elles ne se plaignent de rien. « Si, on a dû renoncer à notre manucure ! » ajoutent-elles en plaisantant.

« Savoir se faire respecter »

Sur le terrain, pour se faire respecter, elles doivent avoir du caractère et du répondant avec certains individus. Pour cela, elles doivent fixer les limites ou le cas échéant prendre une position ferme en cas de comportement inapproprié, en gardant une attitude professionnelle et respectueuse. Elles rappellent que “se faire respecter ne signifie pas être hostile ou agressive.

Les clients sont souvent étonnés de voir arriver une femme pour réparer la machine à café !” L’une d’elle s’amuse d’un cas classique dans lequel elle se fait aborder par un client : « Bonjour ….. Madame ou Mademoiselle ? ».

« Ce qu’elles apprécient dans leur job ? Le sentiment de liberté et l’articulation vie professionnelle et vie privée ».

Ce qui leur plait c’est le sentiment de liberté que l’on ressent au volant. Conduire leur procure une sensation de contrôle, d’indépendance et de mobilité, qu’elles apprécient particulièrement.

Par ailleurs, pour certaines d’entre elles, qui sont également mères de famille, concilier travail et vie de famille est également un aspect important de leur carrière. Chez D8, elles ont réussi à trouver un équilibre entre leurs responsabilités professionnelles et leurs responsabilités parentales. En choisissant leur emploi, il était essentiel pour elles de pouvoir être disponibles pour leurs enfants en dehors des heures de travail, que ce soit pour, les sorties d’école, aider aux devoirs, assister à des activités extra-scolaires, ou simplement passer du temps avec eux.

Diplômé d’un CAP Peinture-Bâtiment et d’un Bac Pro en carrosserie, à 25 ans, Perrine quant à elle est peintre chez D8.

Sa mission consiste principalement à peindre la carrosserie des distributeurs automatiques dans le cadre de notre programme de reconditionnement à neuf de nos distributeurs automatiques « My Green Vending » favorisant l’économie circulaire.

Son métier, c’est aussi sa passion : la peinture, un virus inoculé par son oncle et son père quand elle était enfant. Selon elle, « le métier de peintre sur les chantiers ou en usine n’est pas forcément difficile. C’est l’intégration en tant que femme qui l’est davantage, d’autant plus quand on débute jeune ».

En commençant à travailler, elle s’est rapidement retrouvée face à une réalité douloureuse, les préjugés, les portes fermées pour trouver un stage ou du travail : « on ne prend pas les femmes, vous allez déconcentrer mes hommes », « vous êtes trop jolie pour être un homme”, « ça manquait d’une femme pour nettoyer ».

Elle a eu conscience des difficultés qui l’attendaient mais elle a persévéré. En effet, après avoir travaillé dans presque 30 entreprises en 1 an via l’intérim, elle est depuis plusieurs mois en CDI chez D8, et y a trouvé son bonheur.

« Ça se passe très bien avec mes collègues. Je ne demande rien, je peux travailler en toute autonomie. Je suis tranquille dans ma grotte ! ».

Son métier n’est pas facile, et peut en effet être très exigeant physiquement et mentalement. Être debout toute la journée, utiliser des peintures contenant des produits toxiques, manier des charges, et porter les protections appropriées telles que le masque et une combinaison peuvent rendre le travail inconfortable.

Sa valeur ajoutée ?

L’organisation de son espace de travail, de ses placards, de ses outils est primordiale selon elle, ainsi que la propreté. Elle fait aussi preuve de précision et de minutie pour assurer la qualité de son travail, ce qui le rend très satisfaisant.

Le message qu’elle veut adresser aux femmes est le suivant : « croyez toujours en votre but, la vie récompense les plus courageux ! Et puis, il y a de moins en moins de barrières et de moins en moins de remarques ».

Avant de conclure l’interview une dernière question :

“Partagez avec nos lecteurs quelle est la boisson chaude qui fait battre votre cœur, celle qui vous fait vibrer et qui vous met de bonne humeur pour le reste de la journée. ? »

Perrine : « Un café long avec 2 points de sucre ! »

Sylvie : « Un chocolat chaud quand il fait bien froid »

Natacha : « Un café ou un chocolat »

Sabrina : « Un potage tomate basilic en cas de fringale »

Lucie : « Un café »

Nous sommes fiers de nos collaboratrices et de leur contribution au succès de notre entreprise. Quand on les interroge, toutes, veulent que les femmes sautent le pas pour venir dans la D.A. et participent à faire évoluer les mentalités.

D8 continuera à travailler dur pour créer un environnement inclusif et égalitaire pour tous ses employés, sans distinction de sexe car nous sommes convaincus que la diversité est une force et que la participation active des femmes dans tous les secteurs professionnels est essentielle pour assurer un avenir meilleur et plus égalitaire pour tous.

Nous conclurons en constatant que les métiers n’ont pas de sexe, les personnes qui les exercent ont simplement des compétences et des talents différents. Les femmes ont leur place dans tous les secteurs professionnels et doivent être respectées pour leur travail et leur expertise, plutôt que pour leur genre.

D8 cultive au quotidien le bien vivre ensemble, la performance collective tout en permettant à ses collaborateurs d’être eux-mêmes et de cultiver leurs talents. Nous sommes engagés à promouvoir la diversité et l’inclusion et encourageons tous les candidats qualifiés à postuler.

Comme Perrine, Sylvie, Sabrina, Lucie, Emilia et Natacha, vous voulez faire partie des pionnières qui brisent les stéréotypes et inspirent les générations futures ?

Ne cherchez plus, D8 a besoin de vous !

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